Quand et pourquoi faire appel au Conseil en développement organisationnel ARCF ?
Organiser l’entreprise c’est définir son mode de coordination et décider de ses règles de communication.
Aujourd’hui, les professionnels du développement organisationnel rattachés aux services des ressources humaines sont généralement sollicités pour accompagner les gestionnaires dans la gestion des équipes, la résolution des conflits, l’amélioration du climat de travail, la mobilisation, l’élaboration des processus internes de communication, et tout ce qui touche les dynamiques relationnelles au travail de façon générale. Leurs domaines d’intervention touchent également l’aide à la clarification des rôles et responsabilités, à l’identification des problèmes d’inefficacité au travail, aux relations déficientes avec la clientèle interne et externe, à la réorganisation du travail et des structures organisationnelles.
Au sein du Cabinet conseil ARCF, leur rôle est plus étendu, allant de l’analyse de la performance et de l’étude de la cohérence des systèmes internes de l’entreprise jusqu’à l’alignement entre structure organisationnelle et stratégie.
Les enjeux auxquels font face les entreprises aujourd’hui posent des défis que l’on dirait taillés sur mesure pour le développement organisationnel. Une première catégorie d’enjeux touche la préservation et le transfert des connaissances. Il est reconnu que la compétitivité des entreprises passe par le développement du savoir, mais des centaines de professionnels aux compétences rares partent à la retraite chaque année sans qu’on parvienne à préserver leur expertise. La crise économique actuelle entraîne des suppressions de postes massives, tandis que de nombreux secteurs d’activité souffrent de la rareté des ressources professionnelles dans des domaines clés.
L’harmonisation des cultures organisationnelles constitue un deuxième enjeu majeur puisque, malgré leurs performances financières pour le moins mitigées, les fusions et acquisitions continuent d’être une avenue prisée par les gens d’affaires. Or, on sait très bien qu’un des principaux écueils à la réussite de ces fusions réside dans le mariage des cultures. À cela s’ajoute la pression exercée par la globalisation de l’économie, alors que nos entreprises peinent à intégrer des personnes de toutes provenances culturelles.
Un troisième enjeu réside dans l’intégration des transformations sociales aux pratiques managériales. La génération des baby-boomers laisse graduellement sa place et les nouvelles générations forcent les entreprises à redéfinir la nature des liens qui unissent employeurs et employés, ce n’est plus la satisfaction au travail que les plus jeunes réclament, c’est une vie professionnelle et personnelle équilibrée. De plus, alors que, pendant des années, les technologies ont modelé l’organisation du travail, la prépondérance des échanges virtuels nous force aujourd’hui à redéfinir la façon même dont les rapports s’établissent entre les individus.
Devant de tels paradoxes, les solutions préfabriquées sont rarement d’une grande utilité. Ces enjeux soulèvent des questions cruciales pour lesquelles les entreprises devront trouver des chemins qui leur sont propres si elles veulent pouvoir continuer à changer et à s’adapter aux nouvelles réalités.